Raton estourbi à la sauce Lorette. C'est l'amer Michel
Qui a perdu son chat (Rhahhh! le naze !)
etc.
Sur l'air du Tra-la la
Sur l'air du Tra
Des rires, des rires, des rires de rat, des rires de rat.
(J'ai lu ça quelque part dans "Pilote", il y a quelques dizaines d'années)
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Je vous l'avais bien dit : Riz rat bien qui riz rat le dernier.Oui, je sais, c'est de très très mauvais goût. Mais ça vous fera peut-être réagir, qui sait ?
LVC
2 commentaires:
Astro-chinoisement parlant, je suis né sous le signe du cochon, c'était donc avec délice que je pensais deviser sur le charme de la brise d'été sous les jupes légères de femmes versus l'instrument à vent à corde unique... Fichtre diable, Diantre bleu ! mais nous sommes dans l'année du rat et le Vieux Chasseur tirerait ces dernières cartouches ? Ce rongeur (le rat et non le chasseur) est certainement moins responsable des sévices que Dame Nature inflige à son pays et l'homo sapiens sapiens est plus néfaste que lui. Histoire de conscience... Je suis révolté, en tant que hérisson et j'essaierai me protéger en me mettant en boule ôtant ainsi tout de suite certaines idées au chien ou au blaireau.
Le Gars bian du sud s'est enfuit à tire d'ailes ? Et la môme Vinaigrette aurait-elle viré au miel ? Dommage...
Cordialement à tous
Valeureux hérisson, je vais répondre à ton élégant commentaire. Le malheur de notre époque vois-tu, provient justement du fait que les jeunes femmes d'aujourd'hui ont souvent répudié la robe ou la jupe légère pour un pantalon mal coupé et disgracieux. Ajoute à cela la rumination ostentatoire du chewing-gum, la consultation compulsive du portable et le port permanent d'oreillettes, et le tableau est brossé. Tu les retrouve quelques années plus tard métamorphosées en véhémentes conductrices de poussette t'écrasant sans ménagement les burnes dans les transports. Je regrette vraiment les jolis mai d'antan. Quant au raton de la rue de Lorette, je veux bien avouer qu'il m'avait fait peine. Mais ceci est une autre affaire.
LVC
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